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extrait d'un quart, Motivation des parallèles. 1.3 / XI

ou de l’exigence d’être, ses négligences et sa dévotion. Poème en XI tableaux.
I. de la périphérie des astres.
j’ai le regard dur et tranquille des astres éteints, la vision amère de paysages et d’édifices abandonnés - aussi diverse que bombardé. j’ai vaincu l’illusion, formidable et ennuyeuse, des étoiles - liant la chair à l’infirmité du monde, et mêlant la pluie à son silence. j’aurai jusque conquit l’ombre et son intimité. jusque échouer la fin d’un vers, dans l’ambiguïté nue et discrète de son propre désastre. *
II. l’ennui.
l’idée affolée des chair, au bleu turquoise de son ennui ; l’ennui formidable des ombres, de ses rêves irrépressibles. la folie des ombres à proximité de ses rêves, de la sérénité d’un vers à l’encontre du ciel ; l’intimité sombre de la chair à proximité de son ennui ou de l’anonymat d’une nuit, confiée a la discrétion des étoiles. j’ai avec moi le silence répréhensible des astres, pour y avoir abandonné l’innocence et son infirmité. éprouvant chaque vers pour en dissimuler l’inquiétude. *
III. à la délicatesse inimitable.
éprouvant l’innocence d’un vers, que l’on ampute à son infirmité, au formidable ennui des ombres, mêlé à la folie des étoiles, et vaincre sa propre intimité, de ses illusions, en vert et contre tout - l’absence, un sourire ; tous les possibles et l'inimaginable. long procédé du cœur et de l'évanouissement, malgré la promiscuité du soleil. *

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