google translate

Motivation des parallèles.



ou de l’exigence d’être, ses négligences et sa dévotion. Poème en XI tableaux.




I.      de la périphérie des astres.

j’ai le regard dur et tranquille des astres éteints, la vision amère de paysages et d’édifices abandonnés - aussi diverse que bombardé. j’ai vaincu l’illusion, formidable et ennuyeuse, des étoiles - liant la chair à l’infirmité du monde, et mêlant la pluie à son silence. j’aurai jusque conquit l’ombre et son intimité. jusque échouer la fin d’un vers, dans l’ambiguïté nue et discrète de son propre désastre. 

*

II.    l’ennui.

l’idée affolée des chair, au bleu turquoise de son ennui ; l’ennui formidable des ombres, de ses rêves irrépressibles. la folie des ombres à proximité de ses rêves, de la sérénité d’un vers à l’encontre du ciel ; l’intimité sombre de la chair à proximité de son ennui ou de l’anonymat d’une nuit, confiée a la discrétion des étoiles. j’ai avec moi le silence répréhensible des astres, pour y avoir abandonné l’innocence et son infirmité. éprouvant chaque vers pour en dissimuler l’inquiétude.

*

III.   à la délicatesse inimitable.

éprouvant l’innocence d’un vers, que l’on ampute à son infirmité, au formidable ennui des ombres, mêlé à la folie des étoiles, et vaincre sa propre intimité, de ses illusions, en vert et contre tout - l’absence, un sourire ; tous les possibles et l'inimaginable. long procédé du cœur et de l'évanouissement, malgré la promiscuité du soleil.

*

IV.   résumant l’ombre et ses doutes.

Il y a le vide dont nous sommes le contraire et le chaos dont nous sommes l'opposé. Il y a le néant dont nous sommes l'inverse et, somme de la matière : le résidu. notre âme est un superflu , le cœur un appendice, nous sommes pour la raison ses méandres, à la conscience son alambic.  

Nous sommes des hommes : l’ombre et ses doutes, précipité de l’éternel, l’écho des pierres ; la réfutation propre et acharnée de l’existence et du ciel la discipline. Des anges nous sommes aussi, simples, ennuyants et grotesques.

Et distrais je t’enseigne le mépris des dieux, l’insouciance et la joie. Capital de la douleur à l’abri d’un vers.


*

V.    ses illusions vaincues.

inconnue. j’ai alors de mes rêves accablé le silence, abandonné l’innocence de ma nature à son infirmité, plus précise et délicate, plus précieuse et fatale. j’ai privé la nuit de nouvelles illusions. inquiétant la faim d’un vers ; et, dans l’intimité sombre de la chair, jure avec l’ubiquité, la symétrie et la brutalité de mon espèce, tout contre l’ennui des étoiles.  

*

VI.   amputées au silence.

des convictions, des injures et du secret, dont ce monde n’a comme contre poids que la simple et brutale symétrie de son acharnée délicatesse. abandonnant mon amertume a l’éternelle sérénité d’un vers, je suis de la chair son inquiétude, des astres leur indifférence, et de la nature les défauts. nous faisons l’erreur, nous sachant capable du pire, de croire en l’intimité du ciel et son anonymat, paradoxe de son propre silence et de sa grâce confondus.

*

VII. ses maux écrasant.

l’ennui de la périphérie des astres, collé à la délicatesse inimitable de ses rêves, résumant l’ombre et ses doutes, ses illusions vaincues amputées au silence. ses maux écrasés et corrompus par son absence et l’intimité de ses lèvres pour en accabler le vide à rebours de ses blessures. et dans un mélange d’inquiétude et de prestige, extrapoler un vers de l’exigence de sa nature.

*

VIII.  l’absence dans l’intimité.

de l’idée fantastique de nouveaux soleils, à la délicate apologie de l’être, c’est l’ennui abandonné à l’intimité des formes ; et c’est abandonner ses rêves et leurs amertumes au-delà de son inquiétude. c’est de l’intimité en éprouver l’absence, et corrompre l’innocence de sa nature de par son propre silence. c’est juste avant de sombrer, un manque de profondeur.  

*

IX.   de ses lèvres.

de l’indiscrétion des maux et leurs indécisions rompre avec le silence des astres et leur indifférence. à la renverse de ses blessures, de ses rêves et du ciel, la conviction de ses nuances. et dans la digression d’un vers, ses craintes et les paraboles des étoiles.

*

X. accablant le vide à rebours de ses blessures.

avec des raisons aussi vastes qu’inconsolables, une nature infecte et infectée, à l’envers de ses larmes, moins la nuit, son anonymat, ses infirmités, son indécision, et présumant l’innocence de sa propre intimité, c’est condamner l’indiscrétion de ses vers pour en éprouver la faiblesse et du vide toute sa monotonie et sa promiscuité. 

*

XI.  de sa propre faim.

enfin séparé de la nature et plus sans masque. du monde, de ses ruines et de ses illusions. à l’intermédiaire d’entre la beauté, son autisme, son insolence et ses déboires. ses mystères. et pour un peu plus d’intimité et d’anonymat, cent vers amputés à la promiscuité de son silence et l’ennui du ciel.  
  
*