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Synopsis des Anticyclones.


Synopsis des Anticyclones.




I.      handicap.

noctambule des étoiles, et des pierres la préoccupation - tel un murmure raccompagnant ses rêves aujourd’hui abrégés.
dépassant l’exigence d’être, ses négligences, sa dévotion - des bêtes la débauche, et le souvenir ému de leurs chants, autrefois ponctués d’infinis complexes -  
nous longeons des murs, à la fois son ombre et ses coïncidences - la foi en son propre déclin et son errance, prenant enfin le risque d’égaler, de contrarier des merveilles le jour. 



II.    clair de lune.

relier d’un côté l’amer et ses habitudes - engloutir le ciel de sa fenêtre, dépossédant ainsi l’intimité de ses intuitions - ainsi suffire mais à peine à son infortune, ou souffrir l’hivers ce dédain de nous épargner plus de confessions. et de l’asphalte d’une contorsion retirer son masque pour y hanter son propre vide, de ses nimbes quelques calculs.



III.     la soustraction des astres.

l’éternelle angoisse de la mort, l’obsession si douce de sa réalité - ralentis par l’invincibilité de l’ordinaire, et l’irrégularité de ses songes. théâtre des ombres inaccessible à l'éphémère. et l’abîme de ses tourments eut des cœurs embrassé l’infini, légitimant sa gêne de ses vertiges et d’autres maux le souvenir.
écrasant l’illusion dans sa nature, pour ne plus délibérer des miracles, de ses mystères et de ses hasards - persuadé de ses reflets soudains et limpides que trahissent l’extravagance de nos promesses, de nos fuites les répétitions.



IV.      émaux et camées.

articuler, l’écho de sa misère jusqu'à en rayer la surface, invisible, suspecte et silencieuse, de ses prières où s’entraînent ses secrets et où ses combles se lient à l’azur inconfortable de froide révélations.
indulgence monstrueuse et cruelles de profondeurs ravies à l’insolence, chère et précieuse, excessive et indécente, de trop de pudeur, réincarnant l’ennui de ses préjugés à rebours de son impatience.
et refuser du monde toute son inquiétude, son prestige, et son aberration pour en garder encore un peu les charmes.



V.    vengeance, ventriloque & vipères.

prévoyance de son fantôme à la renverse de ses soleils, de la priorité des saisons à l’essentiel de son évidence, gagné par la pitié, excentrique et négligente, couvert du monde et de ses réflexes - génie initié à l’absurde de ses réserves, méduses à l’irrésistible attirance mêlée des gouffres et de l’anomalie des anges - fantaisie grotesque, terrible et insultante, des accidents des reliefs, confidence délicate des ombres à la misérable gentillesse des étoiles, culte monotone et momifié des cloîtres - présomption de l’infini assimilé à son néant.



VI.    mémoire d’éléphant.

écraser son cafard, et laisser aux vierges ces vers aveugles, avides et magistraux - vers polis et furtifs à la solitude impériale et périlleuse, confidences amères de nos instincts primitifs et décevants. coupables, obtus et odieux, précipité sombre et pénible de ses rêves formidables, pour accuser l’obscurité à son insu de sa propre exubérance et trop grande précarité.



 VII.      saturne sans les anneaux.

chronomètre des heurs à toute allure opposé à la sagesse que fut le long cheminement des langues et ses tremblements irrévocables - plainte assidue de ses nuits pour l’y esquisser son sursit du préjudice de ses frissons, son ridicule et son indignation. mendiant ses regrets tout comme leurs importances.
épilepsie d’énigmes pétrifiées à la périphérie ascétique de ses dogmes. authentisme de nos révoltes et de leurs excellences - du dénivellement des ages, que la passion se refuse parfois pour plus souvent paraître gracieuse.



VIII.     bulles de champagne.

témoins des paradoxes, de la trahison des astres et de leur apoplexie - de l’évanescence des étoiles que suggère l’émoi de nos consciences et de leurs simulacres qu’ont démêlé nos langues - de l’outre et l’amont des idoles, du rire vif et spontané des dieux, des pleurs honnêtes mais non plus abondantes que leurs héros.
impuissants à surmonter l’ordinaire, le recouvrir, et s’imposer devant sa léthargie, pour en appréhender tout son empire devenu intolérable et trop sophistiqué.  



IX.     lettres à Elise.

éprouver l’azur et ses prodiges, vastes, obscurs et réversibles ; pléonasmes sinistres, spectacle terrifiant de nos visions et de leurs résistances, de ses abus et de ses ellipses, psalmodiant l’inquiétude du paysage, ses tourments d’argiles, ses projections de ptérodactyles, atrabilaires et incompatibles et tout aussi contrariantes.
équivoque solennelle et complice des éléments et de leur magie, formule indéniable et répétée de ses fondements - bénigne douceur du soliloque de la foi - reflets désolés et ravissants de notre propre fragilité - invasion navrante et tuberculeuse de notre légèreté que son hermétisme infiltre, que les cœurs empalent.



X.    variation pour une porte et un soupir.

extraits de l’exégèse de la folie - du dédain impitoyable des rois. contemporains bouleversés et anonymes - spectres funèbres - protagonistes exacerbés et ridicules, insupportables et perverties, de sa tranquillité, de sa malice, et de ses apories.  essais, des courtisanes sur la douceur de l’enlèvement, la tendresse du génie, contre l’ordre et ses prémisses - de l’infamie des prêtres sur l’urgence, de naître au ciel ce que l’on ne pu faire chair à la terre.



XI.    emprunt de langue.

l’éternité d’un sourire dans une chambre vide et garder le silence comme un secret. l’ardoise souple des crânes de tuiles roses et d’aubépines, crânant les étoiles, émeut notre progrès alphabêtique, et indubitable - l’anxiété des jaguars se mari mâle à la fébrile solennité de Némésis pour prévenir ainsi l’allusion de ses antipodes de l’hilarité des troubles des paradigmes. sacrilège écarlate et purifié du complexe des lagunes, de l’égarement des équinoxes.



XII.    d’un sommeil de plomb.

métal hurlant des voies lactées ; indigence remarquable de la nonchalance de nos triomphes fantastiques ; succédané d’arborescences ou de l’ombilic des limbes - auxiliaires subtiles et superflues des interludes ; tributaires des galaxies, ou de l’impédance du cosmos - oxymores des caravelles, de nos situations embarrassantes et laconiques - contribution des brumes à notre intoxication – du diagnostic de la faim, ou de l’ambidextrie de l’amour. 



XIII.    quatre épingles.

ambiguë, convoité, parallélépipède, promu et promit à la suggestion plus qu’à l’irrationnel inconstance de ses passions - sujet à l’indiscrétion de nos sens, à l’indigence évertuée de ses propres résolutions, qu’elles soient immortelles, pernicieuses ou physiques, mais tout simplement, et splendides et par expériences, décisives et élémentaires.



XIV.    parasols.

à tous les possibles et l'inimaginable - long procédé du cœur et de l'évanouissement. sans autorité ni lendemain. vertigineux, imprévisibles, exsangues, dans leur dénouement et magnificence - exponentiel des alizés, renvois plus lent de l’écho de ses rires oubliés comme près d’un rêve, tel leurre tendre et naïf.



XV.    l’autoroute des grands boulevards.

feindre ses tourments, son romantisme, ses quelques rares déceptions, aussi précieuses que délicates, avec l’admirable intuition de son hégémonie.
beauté intacte, fade et bornée aux reflets figés, inoffensifs et sinon lugubres - subjuguant toute sa mélancolie à l’infinitif de ses moindres subtilités.
argument des édifies pour accabler nos ancêtres - litanie machinale et larmoyante de son caractère - fables nécessaires et éloignées de son origine immuable, improbable et morbide. débonnaires, primitifs ou sanguinaires, c’est occulter l’œdème de ses privilèges et autres confidences.



XVI.    crochet du droit.

stigmatiser la transparence exagérée des lucioles, et traverser l’exubérante simplicité de la roche. rattraper l’épuisements chroniques de ses idylles, et en lisière de nos mirages, retrouver l’inquiétude infinie des ombres. maintenant son silence à l’endroit de ses légendes, ses réserves en marge de ses fantaisies où l’enthousiasme redoute sa légèreté, et la douleur son abrupte réalité, pour y dégrader lentement l’éternel, et rompre les augures, prolonger ainsi l’élan, son prélude, et traînant à la suite de ses démons vaincus, des sirènes apprivoisées.



XVII.    (idiosainchristie. et)  feuilles mortes.

(tantaconiques magnifisciences - cruelletés brinlebaquant son    innonscence distractée - suplicants préjudicieux et renouvables - disloquences déprivées de sa clarité que répulse de presceptibles réquisitionnements - préremptoires salamaleques  d’admonestifs braîllements encontant l’éscienc periditieux de ses aigrigeyserschéments - aborescence de ses moindres maux tétrastasiques et oblossants.)

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raccompagné par la monotonie de son frigo, minutieusement d’abords , puis de cent milles autres manières - livide, enragé, pâle ou d’émeraude, ou les fenêtres ouvertes - pour y rejoindre les foules qu’embellissent l’opale et l’éther de sempiternels prétextes que quelques violons plaignent et égayent.



XVIII.     des tigres en vert.

méprise cruelle de l’amour et de son abstraction que l’asphyxie confesse - soupçon éternel de ses rancunes, aux contours lancinants de sa seule absence - expérience divine et cruciale du vide et de son désespoir - insaisissables vérités des nus et de l’infini, à la délicatesse et la précision de leurs profondeurs, leurs embrasements, et confessions. convalescence des astres à  l’origine de notre abandon, du désir incurable de l’inconnu, incapable d’horizon. barbares inconsolables traversés par des ombres.

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